L’hypnose ericksonienne

Anne Floret van Eiszner hypnothérapeute, pratique l’hypnose à Paris 15

Dans une période où nous devons obtenir des résultats rapides pour régler des problèmes urgents, l’hypnose représente une approche très intéressante.

Elle fait appel  aux ressources de l’inconscient qui sont infinies à condition d’être mobilisées de façon éthique et habile.

L’hypnose ericksonienne encore appelée « nouvelle hypnose » diffère de l’hypnose traditionnelle en ce qu’elle ne « débranche » pas le patient car il peut à tout moment sentir qu’il est présent dans son processus et  qu’il peut s’exprimer. Elle est facilitante et permet d’intervenir pour régler des phobies, des problèmes de confiance en soi, des troubles sexuels, des problèmes de sommeil,  des problèmes de comportement, etc.

Cependant, il est prudent de se garder de l’utiliser en cas de fragilité structurelle. L’hypnose, en effet, met en contact avec le subconscient donc il est important que le moi soit bien structuré. Elle ne peut pas être utilisée dans n’importe quel cas comme une baguette magique.

Il peut être tout simplement nécessaire de passer par une psychothérapie ou une psychanalyse avant de profiter d’une séance d’hypnose. Car si l’inconscient n’a pas de « limites », en revanche, l’être humain est une construction qui s’est appliquée à fabriquer un équilibre, même imparfait, et toucher à cet équilibre ne peut se faire qu’en respectant l’ordre dans lequel se sont fabriquées les protections, encore appelées « défenses ».